A force de regarder les arbres on apprend vite à reconnaître ce qui est commestible. Ah les mangues super goûteuses et sucrées |
Un premier camp au bord d’une riviere, apres cette longue journee nous dormirons d’un sommeil profond. |
Les prières tibétaines s’égrènent au vent chaud du Mexique |
Coucher de soleil a Oaxaca. |
La cuisine improvisée de Robinson au menu nouilles et légumes. |
Ne pas conduire fatigué tout est prétexte à faire la sieste. |
Après avoir quitté la côte la route s’éléve, tout doucement, un petit col a 1350 m puis le second a 1900 m. |
Laboure à l’ancienne d’un champ de cannes a sucre. |
Se coucher face au soleil est synomyme d’une journée bien remplie. |
Le compteur grimpe tout doucement les jambes viennent de faire tomber les deux mille kilomètres. La fatigue s’est occupée de faire tomber les bonhommes, à chacun sa méthode. |
La ville de Oaxaca et ses facades multicolores. |
Les marches où j’aime déambuler au milieu de toutes ses étales colorées. |
Régle numero une lors d’un voyage à vélo ne jamais se laisser abattre. Pour une glace de plus d’un litre c’est le même. ejjeje |
Retrouvaille avec mon frère de voyage Felipe après quatre années de séparation. Cascadeur professionel de metier aux mains artistiques, un personnage au grand coeur hors norme. |
A la sortie de Oaxaca, un bruit douteux, mon porte bagage avant vient de rompre. Heureusement je trouve un soudeur avec qui je pourrais le resouder. Vive les cadres aciers. |
Les trois compagnons de route. |
Il y a deux options pour se rafraîchir le jus des citron que l’on cueille le long de la route ou les canaux d’irrigations où je me plonge intégralement. |
Une crevaison çà va je suis entouré d’ un spécialiste euh …. |
Le porteur d’eau mexicain. |
On reconnait les amateurs de bière. |
Après avoir traversé la ville bouillante de Puebla et ses huit millions d’ habitants, nous commençons la longue ascension du Paso Cortes entre les volcans Popo 5400 m et l’Itza 4700 m. |
Nous passons la nuit a 3000 m, le volcan grondera toute la nuit, d’ailleurs le matin il fume encore. |
Face a face avec le Popo |
Franchissement du Paso Cortes à plus de 3600m. |
Je me sens oblige de laisser une marque de notre passage avec ma Petite Rose des Vents. |
Dernière nuit sous la tente l’aventure se termine pour Papa. |